Nous offrons nos plus sincères sympathies à toutes celles et ceux qui ont gravité autour de cet homme chaleureux.

De tout cœur, je souhaite mes sincères condoléances à votre famille. J'ai eu la chance de côtoyer M. Francoeur. J'en garde le souvenir d'un être profondément humain, engagé dans la cause des personnes autistes. Un sage, une force tranquille qui savait aussi comment faire avancer les choses. Si nous voyons les personnes autistes d'une façon un peu plus juste aujourd'hui, c'est beaucoup grâce à sa détermination et à son engagement. C'est une partie de l'héritage qu'il nous laisse, et que nous devons préserver. Mario Godin

Mes condoléances à toute la famille!

J'ai connu Michel au CA de la Fédération de l'Autisme du Québec. Sa gentillesse, ses connaissances et sa sagesse vont nous manquer. Mes souhaits les plus sincères accompagnent tous ses proches.

Mes plus sincères condoléances. Michel Francoeur fait partie de ces personnes à qui on aime penser qu'elles sont quelque part sur la planète à faire du bien... leur silence rend la vie plus triste. En plus du SIT, des Horizons verts et Autisme Mauricie, Michel Francoeur s'est impliqué auprès de La Fenêtre Centre d'immersion aux arts.

Mes condoléances à toute la famille. J'ai connu Michel avec la Fédération Québécoise de l'Autisme. Un homme chaleureux et engagé.

Mes plus sincères sympathies à ses proches. Il fut mon prof de physique au CMI... Inoubliable!

J'offre mes plus sincères sympathies à Marie, à Martin et à Nicolas.

Mes plus sincères condoléances à la famille de Michel. Je l'ai côtoyé durant quelques années en étant tous les deux sur le conseil d'administration du Centre d'immersion aux arts La Fenêtre. Nous avons amélioré la qualité de vie des personnes handicapées. Merci Michel d'avoir été dans ma vie.

Je n'ai malheureusement pas pu être présente pour rendre hommage à mon bon ami Michel. À toute sa famille, j'offre mes plus sincères condoléances pour la perte de cet homme exceptionnel qui fût pour moi un modèle de sagesse. Son écoute, sa générosité, sa disponibilité, sa compréhension et sa très grande sagesse ne sont que quelques unes des qualités qui faisaient de lui cet homme qui marquait nos vies. Bonne route mon ami. Jo-Ann Lauzon

Bonjour, Je désire vous exprimer, en mon nom personnel et au nom des membres de l'équipe de la Direction de l'organisation des services en déficience et en réadaptation physique du ministère de la Santé et des Services sociaux, nos plus sincères condoléances. C'est avec regret que nous avons appris le décès de monsieur Michel Francoeur, pionnier de par son implication, tant au niveau régional que provincial, pour la reconnaissance des personnes autistes, l'organisation de services et le développement de connaissances dans le domaine. Il aura su être une réelle source d'inspiration et partager sa passion avec tous ceux qui auront eu le privilège de le côtoyer au fil de son parcours. Nous garderons un bon souvenir de sa participation dans le cadre du premier Forum québécois sur le trouble du spectre de l'autisme qui s'est tenu en février 2016. Nous perdons un excellent collaborateur et un partenaire de premier plan. Veuillez croire en l'expression de nos plus sincères sympathies à toute sa famille et à ses proches. Nous vous souhaitons bon courage en ces moments difficiles. Très sincèrement, Daniel Garneau

C’est le monde de l’autisme en entier qui est en deuil. . Monsieur Francoeur s’introduisait dans votre vie sans formalité, doucement. Dès les premiers instants, vous étiez frappé par l’impression de sagesse émanant de l’homme qui vous faisait face, mais aussi, de sous son abondante chevelure blanche et bouclée, par son incroyable regard bleu, plein d’amour et de bienveillance. Ses yeux se fixaient longuement sur chaque personne autour de vous, qu’ils embrassaient de leur bonté. Je n’ai jamais connu, chez Monsieur Francoeur d’autre présence que celle-là : celle d’un mentor au service de son disciple, celle d’un chef d’orchestre que personne ne voit, mais dont la musique s’entend de tous, celle d’un grand homme. Quelque chose, en effet, distingue l’homme bon du grand homme : alors que l’homme bon tente de faire du bien où il se trouve et dans la mesure de ses moyens, le grand homme, lui, se laisse oublier pendant que son œuvre prend des dimensions qui dépassent de loin sa présence ou ses moyens. Tel était Michel Francoeur. Peu se rappelleront, à moins d’en faire l’effort, toutes les belles choses, les actions justes, les idées nouvelles, dans d’innombrables maisons, plusieurs institutions et jusque dans des universités, dont on trouve chez ce révolutionnaire tranquille, l’origine et l’inspiration. Monsieur Francoeur vous invitait à faire des choses. En toute délicatesse. Et vous les faisiez. Pour lui, alors même qu’il n’en tirait aucun bénéfice. L’amour le guidait, et c’est pourquoi vous l’avez entendu dire du bien de vous et de votre entourage, bien davantage que du mal de qui que ce soit. Il vous faisait sentir exceptionnel, et les mots qu’il employait pour vous décrire ne s’embarrassaient pas de fards. Il disait combien il vous aimait. Et son regard bleu sous les vagues de cheveux blancs… Quand Monsieur Francoeur vous regardait, c’était un peu le ciel que vous voyiez. Mais lui-même n’aurait guère apprécié que vous le lui disiez. Il affirmait qu’après la mort, plus rien n’était. J’espère qu’il me pardonnera de lui répondre qu’il reste beaucoup, beaucoup de Michel Francoeur chez moi, chez vous, et partout autour de nous, et cette présence est immensément fertile. Elle ressemble à un jardin sans frontières. On en récoltera les fruits pendant très, très longtemps. Nous aurons le devoir de nous rappeler sur quelle terre ils ont poussé.

J’étais présente à l’hommage qui a été rendu à Michel par ses amis, ses enfants et son amie et ex-conjointe Françoise. J’ai connu Michel au fil de mes années dans le monde de l’autisme, d’abord dans mon association régionale à Québec puis au sein de la Fédération québécoise de l’autisme. Les témoignages entendus m’ont rappelé des échanges que j’ai eu le privilège de partager avec lui, mais j’ai aussi compris davantage cet être exceptionnel , cet humaniste, ce visionnaire que j’ai eu la chance de cotoyer pendant plus de 20 ans. Son départ laisse un grand vide et j’espère de tout cœur que ses rêves d’une vie digne pour les personnes autistes trouveront leur accomplissement dans un avenir proche.